25 Oct 2018
Et si la clef pour rebondir était d'imaginer le futur en vert ? Des éoliennes qui fleurissent à la place des usines, des panneaux solaires installés aux pieds des terrils, des jardins dans les HLM. Des villes ravagées par la crise industrielle se réinventent en pariant sur l'écologie. Dans le Nord, à Grande-Synthe, 30% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté et les usines licencient. Pour redonner du pouvoir d'achat aux habitants, le maire a inventé la ville qui se mange. Sur les ronds-points, des légumes sont en libre-service et partout les espaces verts ont été reconvertis en vergers. La mairie a planté des centaines d'arbres fruitiers. Aux pieds des HLM, des jardins potagers ont remplacé le bitume.
Une transition écologique pour attirer des habitants
Pour le maire, Damien Carême cette initiative avait pour but "que les habitants subviennent à leurs besoins alimentaires (...), mais cela joue sur le lien social", explique-t-il. De plus, depuis le 1er septembre 2018, le bus est gratuit et les habitants prennent moins leur voiture. À Vitry-le-François (Marne) aussi la ville s'est engagée dans la transition écologique. Il ne reste que quelques usines de son passé industriel, les ouvriers sont partis et les tours HLM se vident. Le maire a décidé de les abattre et de les remplacer par des maisons écologiques. Le but est d'inciter les classes moyennes à rester. Chantal Buisson a ainsi acheté une maison de 95 m2 avec un jardin pour 90 000 euros.
Par France2 (publié le 18/10/18)
A lire sur le site Franceinfo
Une transition écologique pour attirer des habitants
Pour le maire, Damien Carême cette initiative avait pour but "que les habitants subviennent à leurs besoins alimentaires (...), mais cela joue sur le lien social", explique-t-il. De plus, depuis le 1er septembre 2018, le bus est gratuit et les habitants prennent moins leur voiture. À Vitry-le-François (Marne) aussi la ville s'est engagée dans la transition écologique. Il ne reste que quelques usines de son passé industriel, les ouvriers sont partis et les tours HLM se vident. Le maire a décidé de les abattre et de les remplacer par des maisons écologiques. Le but est d'inciter les classes moyennes à rester. Chantal Buisson a ainsi acheté une maison de 95 m2 avec un jardin pour 90 000 euros.
Par France2 (publié le 18/10/18)
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