28 Mar 2014
L'acteur espagnol, Antonio Banderas, a surpris les téléspectateurs de CNN en critiquant la politique du Président Barack Obama. Il suggère que les pays européens et les États-Unis doivent appliquer les mêmes mesures économiques mises en œuvre par Hugo Chavez au Venezuela.
Au cours de sa conversation avec la journaliste Ana Pastor (CNN), Banderas a été interrogé sur plusieurs points concernant la crise financière actuelle et les solutions possibles pour lutter contre elle.
Banderas a critiqué les "marchés, et les grandes entreprises" et il a déclaré que c'est eux qui gouvernent réellement, cependant, ils n'ont pas de "visage". "Nous ne sommes pas gouvernés par ceux que nous avons élu," déclare t-il.
"Comment stopper la crise ?" questionne la journaliste. "Vous n'aimerez pas, mais comme Hugo Chavez, il faut nationaliser toutes les grandes entreprises" a déclaré Antonio Banderas dans un silence assourdissant.
"Il n'y a pas d'autre moyen" conclut-il.
L'acteur hollywoodien a également critiqué Obama pour ne pas remplir ses promesses de campagne et pour avoir succomber à la pression des grandes entreprises et des marchés financiers.
Article et traduction Nico Maury (Mardi 28 Janvier 2014)
Lire et regarder la video sur le site de editoweb.eu
Au cours de sa conversation avec la journaliste Ana Pastor (CNN), Banderas a été interrogé sur plusieurs points concernant la crise financière actuelle et les solutions possibles pour lutter contre elle.
Banderas a critiqué les "marchés, et les grandes entreprises" et il a déclaré que c'est eux qui gouvernent réellement, cependant, ils n'ont pas de "visage". "Nous ne sommes pas gouvernés par ceux que nous avons élu," déclare t-il.
"Comment stopper la crise ?" questionne la journaliste. "Vous n'aimerez pas, mais comme Hugo Chavez, il faut nationaliser toutes les grandes entreprises" a déclaré Antonio Banderas dans un silence assourdissant.
"Il n'y a pas d'autre moyen" conclut-il.
L'acteur hollywoodien a également critiqué Obama pour ne pas remplir ses promesses de campagne et pour avoir succomber à la pression des grandes entreprises et des marchés financiers.
Article et traduction Nico Maury (Mardi 28 Janvier 2014)