04 Jan 2017
Caterpillar, Axa, ING… Les exemples de licenciements massifs ne manquent pas en Belgique pour l’année 2016. Mais parfois, cela ne se finit pas toujours aussi mal. A Nantes, dans l’ouest de la France, un chef d’entreprise sur le départ a cédé sa boîte à ses employés afin d’éviter des licenciements.
Il s’appelle Eric Belile et dirige la Générale de bureautique, une entreprise de 40 salariés qui fournit du matériel informatique, des logiciels et des systèmes d’archivage. Alors qu’il était sur le point de partir à la retraite, Eric Belile a renoncé à céder l’entreprise à un gros concurrent, ainsi qu’à ses 4 millions d’euros de dividendes qui lui revenaient. Au lieu de ça, il l’a cédée à ses travailleurs, en formant lui-même cinq salariés qui reprendront le flambeau.
Un patron qui "aime ses salariés"
" J'aime mes salariés. Or, céder l'entreprise à un gros concurrent signifiait de toutes façons licenciements, a expliqué Éric Belile à RMC. Il était impensable d'imaginer que des gens qui ont travaillé avec moi pendant 25 ans, puissent être licenciés. Il y a des cadres qui travaillent ici plus que moi, des salariés qui rentrent tard chez eux, ce que je ne fais pas".
Une belle histoire dévoilée par RMC et saluée par les employés. "La simplicité pour un chef d'entreprise, c'est de se retirer, de prendre l'argent, et de vivre une bonne retraite au soleil, explique Vincent Le Quer, un des futurs patrons. Mais ce n'était pas du tout sa philosophie".
A lire sur le site de la RTBF (03/01/2017)
Il s’appelle Eric Belile et dirige la Générale de bureautique, une entreprise de 40 salariés qui fournit du matériel informatique, des logiciels et des systèmes d’archivage. Alors qu’il était sur le point de partir à la retraite, Eric Belile a renoncé à céder l’entreprise à un gros concurrent, ainsi qu’à ses 4 millions d’euros de dividendes qui lui revenaient. Au lieu de ça, il l’a cédée à ses travailleurs, en formant lui-même cinq salariés qui reprendront le flambeau.
Un patron qui "aime ses salariés"
" J'aime mes salariés. Or, céder l'entreprise à un gros concurrent signifiait de toutes façons licenciements, a expliqué Éric Belile à RMC. Il était impensable d'imaginer que des gens qui ont travaillé avec moi pendant 25 ans, puissent être licenciés. Il y a des cadres qui travaillent ici plus que moi, des salariés qui rentrent tard chez eux, ce que je ne fais pas".
Une belle histoire dévoilée par RMC et saluée par les employés. "La simplicité pour un chef d'entreprise, c'est de se retirer, de prendre l'argent, et de vivre une bonne retraite au soleil, explique Vincent Le Quer, un des futurs patrons. Mais ce n'était pas du tout sa philosophie".
A lire sur le site de la RTBF (03/01/2017)