On l’appelle FaSinPat pour Fabrica Sin Patrones. Située à Neuquén, au centre-est de l’Argentine, cette fabrique de céramiques est un symbole des luttes sociales du pays. En 2001, face au lock-out imposé par leur propriétaire, Luigi Zanon, et alors que le pays est en proie à une grave crise économique, les ouvriers prennent le contrôle de l’usine. En décembre 2012, après onze ans de procédures, ils ont obtenu l’expropriation de leur ancien patron. Aujourd’hui, 437 ouvriers propriétaires de l’usine gagnent le même salaire, et gèrent ensemble l’entreprise. L’avenir de FaSinPat est toujours incertain. Pour faire face à la concurrence, l’usine doit se moderniser mais les banques lui refusent tout soutien.
Lire l'article et voir les photos sur le site de Mediapart (juillet 2013)
On l’appelle FaSinPat pour Fabrica Sin Patrones. Située à Neuquén, au centre-est de l’Argentine, cette fabrique de céramiques est un symbole des luttes sociales du pays. En 2001, face au lock-out imposé par leur propriétaire, Luigi Zanon, et alors que le pays est en proie à une grave crise économique, les ouvriers prennent le contrôle de l’usine. En décembre 2012, après onze ans de procédures, ils ont obtenu l’expropriation de leur ancien patron. Aujourd’hui, 437 ouvriers propriétaires de l’usine gagnent le même salaire, et gèrent ensemble l’entreprise. L’avenir de FaSinPat est toujours incertain. Pour faire face à la concurrence, l’usine doit se moderniser mais les banques lui refusent tout soutien.
On l’appelle FaSinPat pour Fabrica Sin Patrones. Située à Neuquén, au centre-est de l’Argentine, cette fabrique de céramiques est un symbole des luttes sociales du pays. En 2001, face au lock-out imposé par leur propriétaire, Luigi Zanon, et alors que le pays est en proie à une grave crise économique, les ouvriers prennent le contrôle de l’usine. En décembre 2012, après onze ans de procédures, ils ont obtenu l’expropriation de leur ancien patron. Aujourd’hui, 437 ouvriers propriétaires de l’usine gagnent le même salaire, et gèrent ensemble l’entreprise. L’avenir de FaSinPat est toujours incertain. Pour faire face à la concurrence, l’usine doit se moderniser mais les banques lui refusent tout soutien.