31 May 2024
Le président américain a déclaré ce mercredi 10 avril 2024 examiner une demande de l’Australie appelant les États-Unis à abandonner les poursuites engagées contre le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange. Le lanceur d’alerte australien est accusé d’espionnage par Washington, et encourt jusqu’à 175 années de prison.
Le commentaire de Joe Biden en réponse à un journaliste à la Maison Blanche, ce mercredi 10 avril 2024, au sujet du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, lors de la réception du Premier ministre japonais Fumio Kishida, n’a pas tardé à faire réagir.
Mercredi, à la question d’un journaliste lui demandant s’il avait une réponse à la demande, soumise par l’Australie, d’abandon des poursuites américaines à l’encontre du lanceur d’alerte, le président des États-Unis a répondu que le gouvernement américain examinait la requête de Canberra.
« Nous y réfléchissons », a glissé le démocrate.
Depuis plusieurs années l’Australie appelle les États-Unis à renoncer à l’extradition de son ressortissant, emprisonné depuis cinq ans au Royaume-Uni, dans la prison sous haute-surveillance de Belmarsh, à Londres.
En février dernier, le Premier ministre australien Anthony Albanese, opposant de longue date à la détention du fondateur de Wikileaks, avait soutenu une motion parlementaire demandant le retour en Australie de Julian Assange.
source : Ouest France
Le commentaire de Joe Biden en réponse à un journaliste à la Maison Blanche, ce mercredi 10 avril 2024, au sujet du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, lors de la réception du Premier ministre japonais Fumio Kishida, n’a pas tardé à faire réagir.
Mercredi, à la question d’un journaliste lui demandant s’il avait une réponse à la demande, soumise par l’Australie, d’abandon des poursuites américaines à l’encontre du lanceur d’alerte, le président des États-Unis a répondu que le gouvernement américain examinait la requête de Canberra.
« Nous y réfléchissons », a glissé le démocrate.
Depuis plusieurs années l’Australie appelle les États-Unis à renoncer à l’extradition de son ressortissant, emprisonné depuis cinq ans au Royaume-Uni, dans la prison sous haute-surveillance de Belmarsh, à Londres.
En février dernier, le Premier ministre australien Anthony Albanese, opposant de longue date à la détention du fondateur de Wikileaks, avait soutenu une motion parlementaire demandant le retour en Australie de Julian Assange.
source : Ouest France